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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 16:16

 

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Photos de la mise en place du lieu du spectacle

 

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 16:15
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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 16:14

 

 

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16 juillet 2009 4 16 /07 /juillet /2009 16:10
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 16:10

 

Musiques aux Jardins
est un Festival
itinérant associant

Musique, Littérature
et Art des Jardins
Il est réalisé en collaboration avec
l’association Cultures aux Jardins qui
favorise les créations associant l’art des
jardins aux autres arts : musique,
littérature, danse, cinéma…
Les jardiniers, les services Espaces Verts
et les paysagistes sont co-créateurs des
spectacles avec les autres artistes.
Ces actions encouragent la connaissance
du milieu naturel et l’accés de l’art à tous
les publics dans les parcs et jardins,
lieux de détente et d’évasion les plus
populaires de la cité.

L’Herbe folle
Un piano et une comédienne sur l’herbe dans les parcs
et jardins de France sur le thème de « l’Herbe Folle ».
Ce rapprochement étonnant entre Romantisme et époque
contemporaine dans une création végétale originale invite
le spectateur à une rêverie où les différents sens sont en émoi.
Patrick Scheyder, piano
oeuvres de Chopin, Liszt, Schubert et Improvisations
Monique Scheyder, comédienne
textes de George Sand et Gilles Clément
Mise en Espace Végétale sur des principes
de Gilles Clément, paysagiste et Guillaume Morlans
réalisée par les Services Espaces Verts des villes

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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 16:01

 


Nouvelle création 2009
Léonard de VINCI et la Nature
À Clermont-Ferrand, Limoges, Bessé sur Braye, Lyon et Meudon

À partir des 7000 feuillets que VINCI a laissés à sa mort,
on découvre un homme très actuel, disant que la mer est le sang
de la terre, que les rivières et les fleuves sont ses veines. L’amour
qu’il porte au « corps terrestre » et à la vie de l’homme en
harmonie avec la nature en font un grand humaniste.
Une création images et animations sur grand écran met en
mouvement des dessins et des peintures de Vinci sur la nature.
Patrick Scheyder, piano
oeuvres de Bach, Schubert, Schumann et Improvisations
Monique Scheyder, comédienne
textes de Vinci et Vasari
Michael Lonsdale et Jean-Claude Drouot, comédiens
(en alternance) textes de Vinci
Skertzo création et animation images
Services Espaces Verts Création Végétale

sur des peintures de Vinci

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 16:49

Le figaro

 

Musiques aux jardins



Dans une dizaine de jardins et châteaux d’Ile-de-France. Dates : du 26 mai
au 10 octobre. Entrée libre. Rens. : 02 43 63 05 58 et www.patrick-scheyder.com
SPECTACLE Un piano posé au milieu des herbes folles, une comédienne
interprétant des textes de George Sand, et un « théâtre végétal itinérant »
imaginé par le paysagiste Gilles Clément. Tel est le concept de ce spectacle
musical créé par un authentique pianiste : le romantique Patrick Scheyder.
FAUT-IL Y ALLER ? Y courir, et en famille. Car Patrick Scheyder, qui fait ici
équipe avec son épouse, n’est pas un banal passionné de botanique : c’est un
original, au sens le plus noble du terme, aussi imaginatif dans son approche
poétique de l’art au jardin, que dans son libre jeu d’interprète. T. H.

LE FIGAROSCOPE semaine du 20 au 26 mai 2009.

Le figaro

 

PROMENADE
JARDINS

Pleuvra, pleuvra pas... Ce pourrait être la seule ombre au tableau de cette symphonie pastorale orchestrée sur tout le territoire durant le week-end, transformant la 6eédition de Rendez-vous aux jardins en fête à la grenouille. Pas de quoi se laisser couper l’herbe sous le pied, quand pas moins de 1 900parcs publics ou privés ouvriront cette année leurs grilles à de nombreuses animations sur le thème du voyage des plantes. A travers l’aspect botanique mais aussi sur un plan historique et culturel. Oranger du Mexique, œillet d’Inde… On oublie parfois que la tulipe est venue de Turquie au XVIesiècle, tout comme le dahlia du Mexique ou le mimosa d’Australie. Une épopée contée jusqu’aux enjeux écolos actuels, ainsi qu’en témoigne la démarche du pianiste Patrick Scheyder, du festival itinérant Musiques aux jardins, qui associe les textes sur l’environnement du paysagiste Gilles Clément et ceux de George Sand (samedi au Parc Matisse à Lille, photo).

Libération du Samedi 31/05/2008

Le figaro

Culture

 

Leonard de Vinci toujours vert

Lecture. A Amboise, dans le jardin du Clos Lucé, un spectacle musical autour des carnets naturalistes du peintre florentin de la Renaissance, écologiste avant l’heure.
Dominique Queillé
QUOTIDIEN : jeudi 14 août 2008
Les Carnets de Vinci Ce soir et demain à 21 h 30, dans le cadre de «Nature et paysage, le regard de Léonard de Vinci», jusqu’au 6janvier2009. Château du Clos Lucé, Amboise (37). Rens. :0247575578. Et aussi le festival Musiques aux jardins. Rens. :0243630558.
«Tout est là», se serait écrié Léonard de Vinci à la vue du spectacle de nature brute qu’offre, déployé sur un hectare dans un décor exceptionnel de marais, le jardin du château du Clos Lucé àAmboise (Indre-et-Loire), ultime lieu de vie du peintre florentin.
Depuis juin dernier, ce site paysagé niché en contrebas de la demeure historique, s’est ouvert à la visite, levant le voile - à travers dessins botaniques, paysages et études géologiques - sur le rapport qu’a toujours entretenu l’artiste et inventeur avec la nature. Promenade à la fois botanique et architecturale avec une reconstitution, la toute première en taille réelle, d’un pont à deux niveaux dont la technique dite de «triangulation» sera reprise au XIXesiècle par des ingénieurs comme Gustave Eiffel.
Curieux. Dans la continuité de l’ouverture du nouveau jardin et de l’exposition sur ce thème, deux nocturnes proposent une création autour des carnets de l’auteur de la Joconde qui seront dits pour la première fois en situation de spectacle sur des musiques de la Renaissance, par le comédien Michael Lonsdale au côté du pianiste Patrick Scheyder. Car si Léonard de Vinci rêvait de «cité idéale», il n’en était pas moins curieux du monde végétal. Engagé écolo avant l’heure, il a laissé au Clos Lucé, actuellement propriété de la famille Saint-Bris (Gonzague et Francis), 7 000feuillets réunis dans une sorte de journal intime et philosophique. «Il y traite de nature, de botanique, du corps humain, des astres, souligne Patrick Scheyder, en y développant la notion, très écologique, que la Terre est semblable à l’humain, que la mer est son sang, les rivières et les fleuves, ses veines…»
Quête. Une réflexion somme toute très actuelle sur le devenir de l’homme dans son environnement dont la problématique occupait déjà les esprits du XVIesiècle. Une thématique chère à la quête du pianiste qui, avec son équipée et le soutien de l’architecte-paysagiste Gilles Clément, sillonne les allées des jardins de France au gré de son festival itinérant, Musiques aux jardins, où l’écriture (George Sand, Gilles Clément…) liée à ses partitions, pose le fondement des interrogations contemporaines sur la sauvegarde de la planète. Car il serait temps de ramener sa fraise, comme le fit, à l’époque, le génie de la Renaissance.

http://www.liberation.fr/culture/345028.FR.php
© Libération

Le figaro

Culture

 

 

Pianocôté jardins et théâtre cour royale


Festival.

 

Le musicien Patrick Scheyder propose des créations avec pour cadre les châteaux de la Loire.

Journées des plantes et autres promenades au jardin ont de plus en plus le vent en poupe.

Cet irrésistible appel de la nature, auquel citadins asphyxiés à l'année cèdent en masse jusque dans le choix croissant de vacances en camping pour renouer avec le naturel, attire aussi les arts. Mais quel autre milieu siérait davantage à l'expression romantique musicale et littéraire, sinon un environnement bucolique si propice à toutes les errances imaginaires?

Le festival intinérant Musiques aux jardins a eu l'idée de pousser un peu plus loin le concept en associant concerts classiques, lectrures et mises en espaces végétales. Ainsi, de parcs en châteaux, d'orangerie en abbaye, le pianiste Patrick Scheyder balade-t-il son pleyel de 1842 pour interpréter Chopin, Liszt ou Satie au beau milieu des créations organiques des paysagistes William et Karène Beauregard, tandis que Monique, son épousen prête voix aux textes de Balzac, Sand ou Musset. "C'est une conception nouvelle de présentation de l'art, qui permet d'accueillir le public dans un espace d'écoute privilégié et chaleureux, souligne Patrick Scheyder.
Une sorte de salon extraordinaire à ciel ouvert, parsemé de fleurs, de feuillages... Les formes au sol varient selon les représentations : ilots des lis, tapis de roses, spirales multicolores ou encore damiers."

Née de la rencontre entre le musicien-improvisateur et l'architecte des jardins, cette épopée à la croisée des sens a commencé, il y a quelques mois au théâtre du Lucernaire, à Paris, en compagnie de l'impressionant Michael Lonsdale et pris la poudre d'escampette depuis le mois de mai (une reprise est prévue en novembre avec Marie-Christine barrault). Pour ce rendez- vous qui clôt le circuit des châteaux de la Loire(l'aventure continue au-delà du festival, avec des rendez vous jusqu'en mai 2008), le comédien au phrasé reconaissable entre tous mémorable savant fou enemei de James Bond dans Moonraker en 1979, repique au jeu théâtrale dans la cour royale de Chambord, pour dire sous les étoiles, parmis les graminées et corolles domptées, les mots d'Apollinaire, Hugo, Tardieu et Duras. Une thématique "Romantisme et rêve" qui, sous ce règne végétal, lieds et pieds liés sur un bourlingrin scénographié, devrait faire mouche.

Par Dominique Queillé

 

 

 

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 16:48

 

Bienvenue dans les jardins du monde

 

Pour sa nouvelle saison d'été, Cultures aux Jardins fait étape à Beauvais ce dimanche.

 

"Laisser les mots d'épanouir." L'expression résonne joliment dans la bouche du comédien Michaël Lonsdale évoquant sa participation à l'opération Cultures aux jardins. Parmi les fleurs et les arbres, les textes qu'il  interprétera ce dimanche 5 juin à partir de 14 heures, dans le parc

Marcel-Dassault de Beauvais(Oise), libéreront leurs parfums dans un écrin de nature magnifié par les jardiniers de la ville. Fidèle compagnon du pianiste Patrick Scheyder, initiateur de cette tournée artistique estivale dans les espaces verts de l'hexagone, l'acteur y trouve l'occasion de faire se rencontrer deux de ses passions : les beaux textes et la musique." Si ma famille n'a pu me financer des études musicales et qu'il était impensable d'avoir un piano à la maison, confie-t-il, je me souviens d'avoir toujours aimé me plonger dans l'univers de Purcell ou Ravel, Vivaldi ou Schumann..."

Sur le thème des jardins du monde il a choisi un florilège de textes littéraires qui , alliés aux variations musicales imaginées par Patrick Scheyder - notamment autour de Jean-Sébastien Bach-, inviteront le public à croiser émotions esthétiques et découverte de mondes végétaux lointains et méconnus. Les associations des jardins familiaux de Beauvais proposent notamment une caravane tirée par des chevaux donc chaque Wagon raconte un pays différent, ses savoir-faire, ses spécialités.  "L'art des horticulteurs, des paysagistes, comme la pratique de tout particulier qui possède un petit lopin de terre, expliquent beaucoup de la culture d'un peuple", plaide Patrick Scheyder. Ce musicien curieux de tout ne se lasse pas d'inventer des occasions, offertes à tout public, de dialogue entre les disciplines artistiques, les métiers, les traditions...à Beauvais , la "folle journée" de nature et de culture a été conçue en étroite collaboration avec son complice Pascal Fourcroy, responsable du fleurissement de la ville.

Durant tout l'été, cultures aux Jardins parcourt la France : chaque manifestation s'adapte scrupuleusement à l'identité paysagère du lieu qui l'accueille, loin d'un spectacle clés en main "plaqué" du nord au sud et d'est en ouest. Mobile, comme le flux des mots ou celui de la musique, la vie d'un jardin ou d'un parc se renouvelle de jour en jour...

 

Emmanuelle Giulliani

 

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Les noces harmonieuses du spectacle et de la verdure


« Musiques aux jardins » invite la musique et la littérature dans une trentaine de parcs et jardins, « retravaillés » pour l'occasion 
GIULIANI Emmanuelle
Paru le: samedi31/05/2008 

L'été s'annonce et, avec ses longues soirées et ses nuits étoilées, les festivals refleurissent en France. De nombreux concerts ou spectacles de théâtre sont programmés dans des cadres de verdure et autres écrins bucoliques où le parfum de fleurs, le bruissement des insectes et la fraîcheur des frondaisons se marient aux notes et aux mots. Parmi ces initiatives, il en est une, particulièrement originale, portée par un couple d'artistes, le pianiste Patrick Scheyder et son épouse, Monique, comédienne. Au-delà de la juxtaposition -aussi élégante soit-elle- de l'art et de la nature, ils ont imaginé une complicité étroite entre l'univers végétal travaillé par la main de l'homme, la musique romantique (Chopin, Liszt...) et la littérature.

« Cette année, nous reprenons notre tour de France, explique Patrick Scheyder, de Cabourg à Clermont-Ferrand et de Lille à Bayonne. Et si, jusqu'ici, nous avions posé notre piano dans des parcs de châteaux prestigieux, nous avons choisi en 2008 d'investir essentiellement les espaces verts des villes. » Le projet « Musiques aux jardins » s'est adjoint pour l'occasion un collaborateur expert en la personne du paysagiste Gilles Clément, le créateur, entre autres, des parcs Matisse à Lille, André-Citroën à Paris ou, dans la capitale encore, du jardin du Musée du Quai-Branly...

Inventeur du concept de « jardin en mouvement » dans lequel la friche se mêle aux espaces cultivés, où l'herbe folle n'est pas traitée en ennemie à éradiquer mais en symbole de vitalité, Gilles Clément est aussi l'auteur de textes originaux, entre analyses techniques et réflexions philosophiques sur le rapport riche et ambigu de l'homme moderne à la nature. « Je suis très heureux, confie-t-il, que mes écrits soient mis en regard avec des textes de George Sand. Je me sens très proche d'elle et j'aime l'idée de ces correspondances entre le XIXe et le XXIesiècles. Loin d'un romantisme sentimental, cette femme remarquable a adopté une démarche scientifique d'observation de la campagne. Elle s'intéressait à la classification des plantes, exploitait ses terres avec rigueur... »

Avec son collaborateur Antoine Quenardel, Gilles Clément a prévu une « scénographie de nature », élaborée avec les responsables et jardiniers des espaces verts municipaux. Soucieux de trouver un dispositif « léger et sans artifice », ils ont effectué des semis de printemps, pour ajouter de nouvelles espèces charmantes et aériennes (soucis des champs, nigelle de Damas, coquelicots, nielle des blés...) aux plantes traditionnelles et « civilisées » de ces parcs urbains. « Nous interviendrons ensuite sur la hauteur des herbes pour créer un espace généreux et séduisant : le piano de Patrick Scheyder enjambera ces micro-prairies peuplées d'herbes folles, comme s'il avait toujours été présent. Mais tout cela est éphémère, comme la musique. Le spectacle terminé, on s'en va, sans laisser de traces... » Un peu déconcertés au début, les jardiniers se sont laissé convaincre par cette fantaisie, reposant sur la compétence d'un paysagiste reconnu qui préfère, d'ailleurs, se faire appeler lui aussi jardinier. Participer à une entreprise culturelle a permis en outre à ces professionnels de sortir d'un certain ghetto technique où ils se sentent trop souvent confinés, au mépris de leur créativité. 

Patrick Scheyder témoigne de l'accueil très favorable qui lui a été réservé par les diverses municipalités, contactées durant la période précédant l'élection municipale. « En pleine campagne électorale, les maires plaçaient les questions écologiques au cœur de leur programme. L'électorat y est souvent beaucoup plus sensible qu'aux enjeux culturels ! "Musiques aux jardins" a pu rencontrer à la fois leurs préoccupations environnementales et leurs intérêts politiques... » 

Pour Patrick Scheyder, son projet puise sa légitimité dans la rencontre avec un public divers, qui se mélange plus facilement qu'entre les murs des salles de concert classiques. Lui-même avoue préférer jouer sur un tapis de verdure plutôt que sur une scène noire et souvent « assez laide ». Le jardin, ostensiblement policé ou faussement sauvage, n'est-il pas dans nos imaginaires le lieu même de la béatitude, un résumé du monde, mais débarrassé de ses angoisses et de ses dangers ? Comme l'écrit Dominique Louise Pélegrin, dans ses lumineuses « aventures paysagères », joliment intitulées Ciel ! ma prairie(1) : « Dieu ayant placé l'homme dans un jardin -et non sur une plage, dans une jungle, une forêt ou une ville-, la verdure un peu travaillée mais pas trop, fruit d'un travail commun entre la nature et le jardinier, est associée dans notre civilisation à l'idée de perfection, de bonheur, d'amour. Le vert incarne à la fois le plaisir et la nostalgie d'un état de perfection toujours un peu perdu, comme le paradis. » 
(1) Éd. Autrement, 212p., 15€. Demandez le programme ! Ce samedi31 mai, à 20 h 30, le parc Matisse de Lille, créé par Gilles Clément, est le cadre du concert-lecture du jour, avec, en outre, la participation du comédien Michael Lonsdale. Patrick Scheyder, pianiste, interprète des œuvres de Chopin, Liszt et Schubert, ainsi que des improvisations. Monique Scheyder, récitante, alterne les textes de George Sand, tirés notamment de sa correspondance, des Nouvelles Lettres d'un voyageur ou d'Histoire de ma vie... et ceux de Gilles Clément.Selon son principe de festival itinérant, « Musiques aux jardins » se balade dans toute la France. Programme détaillé disponible au 02.43.63.05.58.

 

 

 

Léonard de VINCI, par amour de la nature.

 

De sa fameuse écriture inversée, Léonard de VINCI a noirci des milliers de feuillets. Un carnet intime, artistique autant que personnel, où il consignait tout ce qui l’intéressait . Et comme il s’intéressait à tout…

 

Créé à l’été 2008 au Clos Lucé, dernière résidence du génie de la Renaissance, et repris en dernier au théâtre Déjazet à Paris, le spectacle Léonnard de VINCI et la nature tisse des correspondances entre les épisodes de sa vie, des extraits de ses écrits et des pièces musicales.

Sous la houlette du pianiste Patrick SCHEYDER, ce montage fluide de paroles et de notes reprend durant la belle saison, en plein air, à travers parcs et jardins de France.

Ecrin particulièrement approprié pour goûter les réflexions d’un observateur poète, tantôt grave, tantôt facétieux, qui compare les rivières irrigant la terre aux veines courant dans le corps humain s’émerveille du mouvement perpétuel du monde , en capture les mystères pour les comprendre.

Mêlant notations triviales et pensées élevées, Vinci réagit en homme de son temps , saisissant les règnes minéral, végétal et animal à bras le corps.

 

Au son de Bach, Schumann et Schubert des projections de croquis et esquisses de Vinci sur un  écran de tulle aérien , accompagnant  ce voyage guidé par un esprit toujours en éveil.

 

Ce sont les comédiens Jean-Claude DROUOT et Michael LONSDALE ( en alternance) qui prêtent leur physique de patriarche et leur voix vibrant de troublants harmoniques à l’incomparable Léonard.

Emmanuelle Giuliani.

 

 

 

 

 

La musique est dans le pré

 

 

Ces spectacles itinérants en plein air associent musique, littérature et jardins pour mieux conjuguer art et nature.

 

 

Voici plusieurs années que Monique et Patrick Scheyder (elle est actrice, il est pianiste et claveciniste)parcourent chaque été les parcs et espaces verts de France pour y faire résonner les mots et les notes? A la rencontre d'un public de vacanciers ou de promeneurs, qui peuvent aborder de manière détendue et "décomplexée" une forme de culture parfois intimidante  dans les salles de théâtre ou de concert traditionnelles.

"Musiques aux jardins" entraine dans son sillage des amis comédiens qui se joignent à ces balades bucoliques, explorant avec finesse mais sans prétention les relations entre l'art et la nature. Michael Lonsdale est un fidèle de l'aventure, prêtant cette année sa voix inimitable ) André le Nôtre, le génial jardinier de Louis XIV, dont le nom est devenu synonyme de rigueur végétale?"Une vision pourtant assez réductrice, plaide Patrick Scheyder, qui ponctue récits, textes et témoignages d'œuvres de Vivaldi, Bach ou Couperin. En réalité, il a réfléchi de manière très inventive au dialogue entre ordre et désordre . Et si on l'associe inévitablement à la notion imposante de jardin à la française, il y avait chez cet autodidacte littéralement passionné par le monde végétal une imagination artistique puissante.""Le sens inné des proportions et des gabarits qui le caractérise reste un modèle pour tout jardiner, des siècles plus tard.", ajoute Dominique Durand, directeurs des parcs et jardins de Beauvais, ville très impliquée dans le projet "Musiques aux Jardins".

Ce samedi 24 Juillet, c'est au Château de Courtanvaux à Bessé sur Braye( Sarthe) que comédiens et musiciens installent leur estrade végétale et leur clavecin. Suivront d'autres rendez-vous, jusqu'au 28 septembre, autour de Le Nôtre donc mais aussi de Léonard de VINCI(concerts-lectures inaugurés en 2009) ou du thème de l'herbe folle, de Millau ) Romorantin et de Valenciennes à paris...

 

Ammanuelle GIULIANI - 24 Juillet 2010

 

 

 

 

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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 16:45

Manifestation


Quand musique et herbes folles se rencontrent...
Depuis 3 ans, Patrick Scheyder, compositeur pianiste, et son épouse, la comédienne Monique Scheyder, ont créé un concept de spectacle baptisé "Musiques aux Jardins", associant musique, littérature et art des Jardins. Ils travaillent cette année avec les paysagistes Gilles Clément et Antoine Quenardel sur le thème de l' "Herbe folle" et ont conçu une "Création Végétale" qui entoure l'espace scénique et intègre le public dans une sorte de Jardin en Mouvement musical et littéraire.
Les textes sont issus de l'œuvre de George Sand, un aspect peu connu de cet écrivain passionné de jardinage qui faisait dès 1850 l'éloge des herbes dites mauvaises. Ces œuvres du 19è sont mises en rapport avec les textes que Gilles clément écrit sur une écologie humaniste, cet aller-retour entre romantisme et époque contemporaine qui donne à la notion d'écologie une perspective historique.
Les musiques suivent ce voyage temporel entre Chopin, Schubert, Schumann et l'improvisation contemporaine. 27 lieux sont associés à ces manifestations, des parcs conçus par Gilles Clément (André Citroën ou le Parc Matisse), mais aussi des villes pionnières en matière de gestion différenciée (Rennes, Lyon...).
"Venant du milieu culturel, j'ai été frappé par la prise de conscience des directeurs de services espaces verts et des jardiniers quant à l'attente du public sur les parcs, à tel point qu'ils ont pris la balle au bond quant à notre proposition" déclare Patrick Scheyder qui poursuit: "entendre le discours parfois contraignant du respect de la nature avec des notes et des mots, c'est harmoniser leur travail de terrain avec le moment éphémère du plaisir et du rêve. Une prise de conscience en douceur".
Cet été, les artistes se produiront dans de nombreuses villes françaises, de Limoges à Bayonne, en passant par Boulogne-sur-Mer, Angers, Aix-en-Provence... Au total, plus de 25 dates...

Eric BURIE

Paysage Actualités N° 311 Juillet-Août 2008
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8 juillet 2009 3 08 /07 /juillet /2009 16:40

  Festival:  Musique et Botanique

 

Samedi 29 Juin 2010 


Le vert , une idée qui germe ces temps-ci jusque sur les Champs-Elysées. Bien que l'éloge des mauvaises herbe ne date pas d'hier, George Sand l'avait bien compris, les bon plants parsèment la culture de ses foisonnants rendez-vous de saison. Institutionnels comme le Rendez-vous aux jardins, qui rien qu'en Ile-de-France lève le voile sur 170 espaces verts(2 000 dans l'Hexagone), avec des premières, entre autres, les deux hectares paysagers de Matignon.

les initiatives individuelles se multiplient également. Crée il y a 4 ans par le pianiste Patrick Scheyder, Musiques  aux jardins, qui allie littérature, musique et botanique, a posé les jalons d'un dialogue fertile entre ces différents acteurs à travers une festival itinérant. L'initiative fédère une vingtaine de villes, avec des journées "Cultures aux jardins" où ce joue, tel dimanche à Beauvais, la création de Le Nôtre et Louis XIV, avec Michael Lonsdale, entre défilé de mode végétal et savoir topiaire en live.

Rendez vous aux Jardins : les 4,5 et 6 Juin.

Cultures aux Jardins : jusqu'en septembre.

culturesauxjardins.overblog.com

Dominique Queillé


Itinérante, l’herbe folle s’arrête à Lyon

Musiques aux jardins A Lyon le 26 août et en tournée jusqu’au 10 octobre. Rens. : www.patrick-scheyder.com

Musiques aux jardins est un festival itinérant qui investit les espaces verts urbains. Patrick Scheyder, son fondateur, revient sur ce rapprochement entre musique, littérature et art des jardins.

Quelles sont les particularités du festival Musiques aux jardins ?


A travers cette alliance entre musique, littérature et nature, nous voulons rendre hommage au travail des jardiniers. Nous travaillons avec le paysagiste Gilles Clément, qui a déjà à son actif le parc André-Citroën à Paris, et avec les jardiniers des villes où on donne le spectacle, qui préparent les terrains selon les principes de Gilles Clément. Le jour du spectacle, je joue du piano et mon épouse récite des textes de George Sand et de Gilles Clément qui a beaucoup écrit sur «l’écologie humaniste».

 

Comment la musique et la littérature s’articulent-elles avec la nature ?


D’abord, cette année, nous avons pour thème «L’herbe folle». Nous voulons montrer les problèmes des espaces verts qui, en étant tondus trop souvent, empêchent des espèces sauvages de vivre. Notre spectacle se prépare trois à quatre mois auparavant, en laissant l’herbe pousser. Parfois les jardiniers ont ainsi découvert des cosmos ou remarqué la présence d’orchidées, qu’on n’avait pas vues depuis longtemps. Nous avons choisi des textes de George Sand car elle fait l’éloge de la mauvaise herbe, aussi importante que la bonne. C’est la biodiversité d’aujourd’hui. Le jour du spectacle, le piano est posé à même le sol et le public s’assoit sur des bottes de paille. Les jardiniers préparent des tiges de bambou pour indiquer les espèces végétales. Sur les textes de Sand, j’interprète du Chopin, avec qui a vécu l’auteure.

Pourquoi s’arrêter à Lyon ?

Le Parc de la Tête d’or est le plus grand parc urbain de France, et est entretenu selon les principes de Gilles Clément. Nous adaptons à la ville nos spectacles. Le 27 septembre, nous serons Parc de Belleville à Paris, où aimait se promener George Sand.

 


PROMENADE
JARDINS

 


Pleuvra, pleuvra pas... Ce pourrait être la seule ombre au tableau de cette symphonie pastorale orchestrée sur tout le territoire durant le week-end, transformant la 6eédition de Rendez-vous aux jardins en fête à la grenouille.

Pas de quoi se laisser couper l’herbe sous le pied, quand pas moins de 1 900parcs publics ou privés ouvriront cette année leurs grilles à de nombreuses animations sur le thème du voyage des plantes. A travers l’aspect botanique mais aussi sur un plan historique et culturel. Oranger du Mexique, œillet d’Inde… On oublie parfois que la tulipe est venue de Turquie au XVIesiècle, tout comme le dahlia du Mexique ou le mimosa d’Australie.

Une épopée contée jusqu’aux enjeux écolos actuels, ainsi qu’en témoigne la démarche du pianiste Patrick Scheyder, du festival itinérant Musiques aux jardins, qui associe les textes sur l’environnement du paysagiste Gilles Clément et ceux de George Sand (samedi au Parc Matisse à Lille, photo). 

Libération du Samedi 31/05/2008 







Culture

Leonard de Vinci toujours vert

 

 

Lecture. A Amboise, dans le jardin du Clos Lucé, un spectacle musical autour des carnets naturalistes du peintre florentin de la Renaissance, écologiste avant l’heure.
Dominique Queillé 
QUOTIDIEN : jeudi 14 août 2008
Les Carnets de Vinci Ce soir et demain à 21 h 30, dans le cadre de «Nature et paysage, le regard de Léonard de Vinci», jusqu’au 6janvier2009. Château du Clos Lucé, Amboise (37). Rens. :0247575578. Et aussi le festival Musiques aux jardins. Rens. :0243630558. 
«Tout est là», se serait écrié Léonard de Vinci à la vue du spectacle de nature brute qu’offre, déployé sur un hectare dans un décor exceptionnel de marais, le jardin du château du Clos Lucé àAmboise (Indre-et-Loire), ultime lieu de vie du peintre florentin. 
Depuis juin dernier, ce site paysagé niché en contrebas de la demeure historique, s’est ouvert à la visite, levant le voile - à travers dessins botaniques, paysages et études géologiques - sur le rapport qu’a toujours entretenu l’artiste et inventeur avec la nature. Promenade à la fois botanique et architecturale avec une reconstitution, la toute première en taille réelle, d’un pont à deux niveaux dont la technique dite de «triangulation» sera reprise au XIXesiècle par des ingénieurs comme Gustave Eiffel. 
Curieux. Dans la continuité de l’ouverture du nouveau jardin et de l’exposition sur ce thème, deux nocturnes proposent une création autour des carnets de l’auteur de la Joconde qui seront dits pour la première fois en situation de spectacle sur des musiques de la Renaissance, par le comédien Michael Lonsdale au côté du pianiste Patrick Scheyder. Car si Léonard de Vinci rêvait de «cité idéale», il n’en était pas moins curieux du monde végétal. Engagé écolo avant l’heure, il a laissé au Clos Lucé, actuellement propriété de la famille Saint-Bris (Gonzague et Francis), 7 000feuillets réunis dans une sorte de journal intime et philosophique. «Il y traite de nature, de botanique, du corps humain, des astres, souligne Patrick Scheyder, en y développant la notion, très écologique, que la Terre est semblable à l’humain, que la mer est son sang, les rivières et les fleuves, ses veines…» 
Quête. Une réflexion somme toute très actuelle sur le devenir de l’homme dans son environnement dont la problématique occupait déjà les esprits du XVIesiècle. Une thématique chère à la quête du pianiste qui, avec son équipée et le soutien de l’architecte-paysagiste Gilles Clément, sillonne les allées des jardins de France au gré de son festival itinérant, Musiques aux jardins, où l’écriture (George Sand, Gilles Clément…) liée à ses partitions, pose le fondement des interrogations contemporaines sur la sauvegarde de la planète. Car il serait temps de ramener sa fraise, comme le fit, à l’époque, le génie de la Renaissance. 


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Culture


Pianocôté jardins et théâtre cour royale
Festival. Le musicien Patrick Scheyder propose des créations avec pour cadre les châteaux de la Loire.



Journées des plantes et autres promenades au jardin ont de plus en plus le vent en poupe. Cet irrésistible appel de la nature, auquel citadins asphyxiés à l'année cèdent en masse jusque dans le choix croissant de vacances en camping pour renouer avec le naturel, attire aussi les arts. Mais quel autre milieu siérait davantage à l'expression romantique musicale et littéraire, sinon un environnement bucolique si propice à toutes les errances imaginaires?

Le festival intinérant Musiques aux jardins a eu l'idée de pousser un peu plus loin le concept en associant concerts classiques, lectrures et mises en espaces végétales. Ainsi, de parcs en châteaux, d'orangerie en abbaye, le pianiste Patrick Scheyder balade-t-il son pleyel de 1842 pour interpréter Chopin, Liszt ou Satie au beau milieu des créations organiques des paysagistes William et Karène Beauregard, tandis que Monique, son épousen prête voix aux textes de Balzac, Sand ou Musset. "C'est une conception nouvelle de présentation de l'art, qui permet d'accueillir le public dans un espace d'écoute privilégié et chaleureux, souligne Patrick Scheyder.
Une sorte de salon extraordinaire à ciel ouvert, parsemé de fleurs, de feuillages... Les formes au sol varient selon les représentations : ilots des lis, tapis de roses, spirales multicolores ou encore damiers."


Née de la rencontre entre le musicien-improvisateur et l'architecte des jardins, cette épopée à la croisée des sens a commencé, il y a quelques mois au théâtre du Lucernaire, à Paris, en compagnie de l'impressionant Michael Lonsdale et pris la poudre d'escampette depuis le mois de mai (une reprise est prévue en novembre avec Marie-Christine barrault). Pour ce rendez- vous qui clôt le circuit des châteaux de la Loire(l'aventure continue au-delà du festival, avec des rendez vous jusqu'en mai 2008), le comédien au phrasé reconaissable entre tous mémorable savant fou enemei de James Bond dans Moonraker en 1979, repique au jeu théâtrale dans la cour royale de Chambord, pour dire sous les étoiles, parmis les graminées et corolles domptées, les mots d'Apollinaire, Hugo, Tardieu et Duras. Une thématique "Romantisme et rêve" qui, sous ce règne végétal, lieds et pieds liés sur un bourlingrin scénographié, devrait faire mouche.

Par Dominique Queillé

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